Improvisator le chien et l’hélicoptère

Improvisator s ‘appelle Improvisator, mais Improvisator n’a jamais rien improvisé. Improvisator reconnaît volontiers qu’il est ringard et que ses textes sont dépourvus du moindre intérêt. Improvisator ne joue pas pour l’amour de l’art, mais plutôt pour l’argent. Improvisator est intéressé et inintéressant. Cette année, après 16 ans d’absence, ce sera le come-back d’Improvisator, un peu comme celui d’Elvis : gros ventres, sudation excessive liée à une surconsommation d’alcool et de charcuterie, une conviction un peu forcée, une tendance un peu réac, mais tout de même, une sorte de mythe. 16 ans d’absence, 16 ans de joie et de prospérité pour les festivals du monde entier. Mais hélas, Improvisator revient pour infliger son spectacle navrant, et tirer tout le monde vers le bas. Un soi-disant nouveau spectacle d’ailleurs, pompeusement appelé : « Le chien et l’hélicoptère ». Mais ne nous y trompons pas, ce ne sera qu’un ramassis de vieux textes porté par deux quadragénaires imbéciles s’agitant vainement et risquant à tout moment la rupture d’anévrisme. N’allez pas voir Improvisator.

 

Distribution

Écriture, mise en scène, costumes et jeu : Le Divin Magis Guy De Tramont Scénographie : Jean-François Garraud Administration et diffusion : Maud Jacquier 

Soutiens

avec le soutien du Conseil Départemental du Var et de la Ville de La Garde

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